8 h à 9 h |
INSCRIPTION ET PETIT-DÉJEUNER
Inscription : Corridor de la salle Adam | Petit-déjeuner : Salle Drawing
Commanditaire
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9 h à 9 h 15 |
MOT DE BIENVENUE ET INTRODUCTION
Salle Adam
Panélistes :
Neil Campbell, McMillan S.E.N.C.R.L., s.r.l.,, Toronto (Ontario)
Cassandra Brown, Blake, Cassels & Graydon S.E.N.C.R.L./s.r.l., Toronto (Ontario)
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9 h 15 à 10 h 30 |
PLÉNIÈRE D’OUVERTURE
La politisation du droit de la concurrence – quelles sont les limites et les conséquences?
Salle Adam
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La politisation de l’antitrust au Canada : comment en sommes-nous arrivés là? Discussion sur les répercussions de l’environnement politique et réglementaire des États-Unis sur les réformes du droit de la concurrence au Canada.
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Discussion sur le rôle du commissaire et du Bureau en tant que « défenseurs » des changements au droit plutôt qu’en tant qu’agents d’application des lois.
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L’utilisation du droit de la concurrence pour répondre aux priorités gouvernementales : prix de l’épicerie, inflation, marché du travail, écoblanchiment… Est-ce le bon outil?
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Les réformes de fond sont-elles motivées par un sentiment populiste à l’égard des refontes et du climat économique actuel?
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Études de marché : comment ce nouveau pouvoir sera-t-il utilisé et qui aura le plus d’influence pour décider des priorités?
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Discussion sur l’étude de marché relative au secteur du transport aérien (et toute étude subséquente annoncée avant la conférence).
Panélistes :
Matthew Chiasson, Bureau de la concurrence, Ottawa (Ontario)
Fiona Schaeffer, Milbank LLP, New York (NY)
Don Guy, GT and Company, Toronto (Ontario)
Julie Soloway, Blake, Cassels & Graydon S.E.N.C.R.L./s.r.l., Toronto (Ontario)
Animateur : Mike Laskey, Stikeman Elliott S.E.N.C.R.L., s.r.l., Toronto (Ontario)
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10 h 30 à 11 h |
PAUSE-RAFRAÎCHISSEMENTS
Corridor de la salle Adam
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11 h à 12 h 15 |
SÉANCES EN PETITS GROUPES
SÉANCE 1A : Le droit privé d’action pour les collaborations entre concurrents – qui est le plus susceptible d’en bénéficier, et qui court le plus de risques?
Salle Adam
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Discussion sur les droits privés d’action existants prévus par les articles 36 et 45 à 47 par rapport à ceux qui émergent pour les collaborations civiles entre concurrents aux termes de l’article 90.1.
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Quelles théories du préjudice les demandeurs pourraient-ils faire valoir, et sur quels types de preuves s’appuieront-ils? Comment les défendeurs devront-ils se préparer devant de telles allégations?
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Comment la menace d’un litige privé influencera-t-elle les négociations commerciales?
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Quel sera l’effet des dispositions de permission élargies sur les avantages d’intenter une action en justice, et à qui cela profitera-t-il (ex. : l’intérêt public)? Lesquels des concurrents ou des consommateurs ou des fournisseurs sont les plus susceptibles d’intenter des actions?
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Les modifications apportées à l’article 90.1 ouvrent-elles la porte à des contestations de fusions par des parties privées?
Panélistes :
Adam Hirsh, Osler, Hoskin & Harcourt S.E.N.C.R.L./s.r.l., Toronto (Ontario)
Cathy Beagan Flood, Blake, Cassels & Graydon S.E.N.C.R.L./s.r.l., Toronto (Ontario)
Paul Klippenstein, Bureau de la concurrence, Gatineau (Québec)
Reidar Mogerman, CFM Lawyers LLP, Vancouver (Colombie-Britannique)
Animateur : Jon Wall, Goodmans LLP, Toronto (Ontario)
SÉANCE 1B : Y a-t-il abus de la disposition sur l’« abus de position dominante » au Canada?
Salle MacDonald
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Discussion sur le nouveau critère à deux volets : que signifiera dans la pratique la combinaison des effets négatifs sur la concurrence et du seuil d’intention?
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Quelles sont les implications des récents changements favorisant les théories du préjudice faisant référence à la dominance conjointe?
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Qu’est-ce qui demeure pertinent dans les décisions antérieures, dont les affaires TREB et VAA?
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Le nouveau critère va-t-il freiner les comportements proconcurrentiels?
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Comment les « performances concurrentielles supérieures » seront-elles définies dans l’évaluation des effets anticoncurrentiels?
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Combinée au droit privé d’action, la disposition modifiée sur l’abus de position dominante donne-t-elle aux entreprises moins efficaces la possibilité d’entrer en concurrence par le biais de litiges stratégiques?
Panélistes :
Omar Wakil, Torys S.E.N.C.R.L., Toronto (Ontario)
David Weiskopf, Compass Lexecon, Washington (DC)
Julia York, Skadden, Arps, Slate, Meagher & Flom LLP, Washington (DC)
Animateur : David Feldman, Stikeman Elliott S.E.N.C.R.L., s.r.l., Toronto (Ontario)
SÉANCE 1C : Sujets brûlants en droit pénal – au Canada et à l’étranger
Salle Renaissance
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Discussion sur les tendances en matière de mesures pénales relatives au non-maraudage et à la fixation des salaires au Canada et ailleurs.
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Les pertes récentes essuyées par le département de la Justice dans des affaires liées au marché du travail, combinées à sa détermination agressive à faire appliquer la loi. À quoi devons-nous nous attendre aux États-Unis? S’agira-t-il d’un modèle adéquat pour le Canada?
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Programme d’immunité ou de clémence – le jeu en vaut-il la chandelle? Ces programmes sont-ils utilisés face aux implications civiles importantes quand il y a aveu de participation à un complot criminel, aux conséquences d’une radiation, etc.?
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Répercussions des décisions fréquentes du Bureau et du SPPC de ne pas engager de poursuites dans les cas de non-clémence.
Panélistes :
Pierre-Yves Guay, Bureau de la concurrence, Gatineau (Québec)
Lisa Phelan, Morrison Foerster, Washington (D.C.)
Ken Jull, Gardiner Roberts LLP, Toronto (Ontario)
Animatrice : Alysha Manji-Knight, Davies Ward Phillips & Vineberg LLP, Toronto (Ontario)
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12 h 15 à 13 h |
DÉJEUNER ET PRÉSENTATIONS DES PRIX
Salle Drawing
Commanditaire
Présentation du Prix commémoratif James H. Bocking
Lauréat du prix: Mark Musselman
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13 h à 13 h 45 |
DISCOURS LIMINAIRE DU COMMISSAIRE
Salle Drawing
Mot de Matthew Boswell, commissaire de la concurrenceCauserie au coin du feu avec le commissaire
Animatrice : Cassie Brown, Blake, Cassels & Graydon S.E.N.C.R.L./s.r.l., Toronto (Ontario)
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13 h 45 à 15 h 15 |
PLÉNIÈRE DE L’APRÈS-MIDI
Quels seront les changements apportés à l’examen de fusionnement?
Salle Adam
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Présomptions structurelles et indices de concentration – En quoi l’approche diffère-t-elle de celle d’autres pays? Ex. : présomptions structurelles et indices de concentration dans les lignes directrices américaines pour l’application des dispositions sur les fusionnements.
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Cette présomption permet-elle d’atteindre l’objectif d’augmentation de la productivité et de l’innovation? Peut-il y avoir des fusionnements proconcurrentiels au-delà des 30 %?
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Comment les présomptions structurelles modifieront-elles les stratégies du Bureau de la concurrence, des parties fusionnantes et des plaignants en matière de fusionnement?
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Nouvelles demandes d’injonction « automatique » – comment influencent-elles les accords de délais et la stratégie de litige/clôture?
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Délai de prescription pour l’examen de fusionnement – implications stratégiques pour les avis volontaires (période de trois ans pour les transactions ne pouvant faire l’objet d’un avis).
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La période d’examen prolongée s’applique-t-elle rétroactivement/rétrospectivement (ex. : une fusion sans avis qui a été clôturée il y a 18 mois)?
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Verrons-nous davantage de mesures d’application fondées sur les théories de préjudice relatives au marché du travail?
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L’intensification récente de l’application des lois relatives aux fusions aux États-Unis se transposera-t-elle au Canada? Les lignes directrices américaines sur les fusions auront-elles des répercussions sur les examens au Canada?
Panélistes :
Ryan Leenhouts, Bureau de la concurrence, Gatineau (Québec)
Margaret Segall, Cravath, Swaine & Moore LLP, New York (NY)
Peter Flynn, Stikeman Ellio, Toronto (Ontario)
Animateur : Dimitri Dimitropoulos, Charles River Associates, Toronto (Ontario)
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15 h 15 à 15 h 45 |
PAUSE-RAFRAÎCHISSEMENTS
Corridor Adam
Commanditaire
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15 h 45 à 17 h |
SÉANCES EN PETITS GROUPES
SÉANCE 2A : Les dispositions restrictives
Salle MacDonald
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Aperçu des modifications apportées à la Loi sur la concurrence qui s’appliquent aux dispositions restrictives.
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Discussion sur l’enquête du Bureau relative à l’utilisation des dispositions restrictives dans le secteur de l’alimentation – contexte de l’enquête et aperçu des réponses des parties (ex. : demande de révision judiciaire).
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Les implications probables hors du secteur de l’alimentation.
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Comparaison entre l’approche américaine de la règle de raison et le cadre législatif de la Loi sur la concurrence.
Panélistes :
Kail J. Jethmalani, Axinn, Veltrop & Harkrider LLP, New York (NY)
David Dueck, Osler, Hoskin & Harcourt S.E.N.C.R.L./s.r.l., Toronto (Ontario)
Daniel Jensen, Bureau de la concurrence, Gatineau (Québec)
Animatrice : Fiona Campbell, CIBC, Toronto (Ontario)
SÉANCE 2B : Prévoir de meilleurs recours
Salle Renaissance
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Comment l’introduction d’un agent spécialisé en recours va-t-elle influer sur la négociation des recours?
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Quels sont les problèmes liés au processus de recours, et les processus et cadres existants du Bureau peuvent-ils être une solution?
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Modification de la norme relative aux recours – comment pourra-t-on recréer le paysage concurrentiel antérieur à un fusionnement dans la pratique?
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Comme l’évaluation des recours la plus récente a été publiée en 2011, est-il probable que le Bureau mène d’autres évaluations post-recours prochainement? Comparaisons avec des pays ayant des pratiques d’évaluation post-recours (ex. : l’étude de la FTC de 2017, celle de la CE de 2005, celle de la CMA du R.-U. de 2007).
Panélistes :
Shawn Hashmi, Bureau de la concurrence, Gatineau (Québec)
Jervis Rodrigues, BDO Canada LLP, Vancouver (Colombie-Britannique)
Ian Li, Torys S.E.N.C.R.L., Toronto (Ontario)
Animateur : Francesco Ducci, Université Western, Toronto (Ontario)
SÉANCE 2C : Les nouvelles frontières de la sécurité nationale – Les implications du nouveau régime
Salle Adam
Commanditaire
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Analyse de la liste des secteurs.
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Conseils durant la période de transition vers les nouvelles règles.
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Modification des stratégies de dépôt dans le contexte des périodes d’attente obligatoires préalables à la clôture.
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Préparatifs de la Direction générale de l’examen des investissements étrangers et de la sécurité économique en vue de faire face au volume anticipé de dépôts.
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Comparaison avec les régimes de sécurité nationale qui prolifèrent mondialement.
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Les implications stratégiques du nouveau régime pour les entreprises canadiennes et les investisseurs étrangers.
Panélistes :
Matt Dooley, Innovation, Sciences et Développement économique Canada, Ottawa (Ontario)
Julian Ovens, Crestview Strategy, Ottawa (Ontario)
Josh Chad, McMillan S.E.N.C.R.L., s.r.l., Toronto (Ontario)
Animatrice : Sandy Walker, Dentons, Toronto (Ontario)
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17 h à 18 h 30 |
RÉCEPTION
Fairmont Chateau Laurier : Salle Drawing
Commanditaire
Ouvert à toutes les personnes inscrites.
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19 h à 22 h |
DÎNER
Musée canadien de la nature : Salon Hatch
Commanditaire
Panéliste : L'honorable David Lametti, ancien ministre de la Justice et procureur général du Canada
Billets requis.
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22 h à minuit |
RÉCEPTION DE RÉSEAUTAGE DES JEUNES JURISTES
Charlotte (Ottawa)
Commanditaire
Ouvert à toutes les personnes inscrites
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